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On page 455 he describes the overturning of bergs due to changes in their equilibrium, and, referring to rock-studded ice, states (p. 456): "In such cases the deeply embedded position of the larger fragments spoke of their having been there from the original structure of the berg." Further (p. 457): "Of nearly 5,000 bergs which I have seen there was perhaps not one that did not contain fragmentary rock." In his Arctic Expeditions: The Second Grinnell Expedition (vol. 2, 1856, pp. 156, 157), Dr. Kane describes ice in Marshall Bay covered with millions of tons of rock debris. Concerning this he writes: "I have found masses that had been detached in this way floating many miles out to sea—long symmetrical tables, 200 feet long by 80 broad, covered with large angular rocks and bowlders, and seemingly impregnated throughout with detrital matter. These rafts in Marshall Bay were so numerous that could they have melted as I saw them the bottom of the sea would have presented a more curious study for the geologist than the bowlder-covered lines of our middle latitudes." It should be noted, however, that these ice rafts probably do not transport their loads to such low latitudes as are reached by the more massive bergs. Dr. I. I. Hayes, in his volume on The Open Polar Sea, a narrative of a voyage of discovery toward the North Pole (1867, pp. 403, 404), describes the rock debris dropped upon the ice from cliffs along the shore and thence drifted away. He writes: "The amount of rock thus transported to the ocean is immense, and yet it falls far short of that which is carried by the icebergs, the rock and sand embedded in which, as the: lay in the parent glacier, being sometimes sufficient to bear them down under the weight until but the merest fragments rise above the surface. As the berg melts, the rock and sand fall to the bottom of the ocean; and, if the place of their deposit should one day rise above the sea level, some geological students of future ages may, perhaps, be as much puzzled to know how they came there as those of the present generation are to account for the bowlders of the Connecticut Valley." |
À la page 455, il décrit le renversement des icebergs en raison de changements dans leur équilibre, et, se référant à la glace entassée de roches, déclare (p. 456) : "Dans de tels cas, la position profondément enfoncée des plus grands fragments, parlait de leur présence à partir de la structure originale de l’iceberg." En outre (p. 457) : "Sur près de 5000 icebergs que j’ai vus, il n’y en avait peut-être pas un qui ne contenait pas de roches fragmentaires." Dans ses Expéditions Arctiques: The Second Grinnell Expedition (vol. 2, 1856, p. 156, 157), M. Kane décrit la glace de la baie Marshall couverte de millions de tonnes de débris rocheux. À ce sujet, il écrit : « J’ai trouvé des masses qui s’étaient détachées de cette façon et qui flottaient à des miles de la mer, de longues tables symétriques, longues de 200 pieds (60 m) sur 80 (25 m) de large, couvertes de grandes roches angulaires et de rochers, et apparemment imprégnés de matière détritique. Ces radeaux de la baie Marshall étaient si nombreux qu’ils auraient pu fondre, car je les voyais au fond de la mer, ce qui aurait présenté une étude plus curieuse pour le géologue que les lignes recouvertes de nos latitudes moyennes. » Il est à noter, cependant, que ces radeaux de glace ne transportent probablement pas leurs charges à des latitudes aussi basses que celles qu’atteignent les icebergs plus massifs. Dr. I. I. Hayes, dans son ouvrage intitulé The Open Polar Sea, récit d’un voyage de découverte vers le pôle Nord (1867, p. 403, 404), décrit les débris rocheux tombés sur la glace le long des falaises le long du rivage et de là ont dérivé. Il écrit : "La quantité de roches ainsi transportées vers l’océan est immense, et pourtant elle est bien en deçà de ce qui est porté par les icebergs, la roche et le sable encastrés, comme ils gisent dans le glacier parent, étant parfois suffisant pour les supporter sous le poids jusqu’à ce que les plus petits fragments s’élèvent au-dessus de la surface. Au fur et à mesure que l’iceberg fond, la roche et le sable tombent au fond de l’océan; et, si l’endroit de leur dépôt devrait un jour s’élever au-dessus du niveau de la mer, certains étudiants géologiques des âges futurs peuvent, peut-être, être autant perplexe de savoir comment ils sont venus là que ceux de la la génération actuelle doit rendre compte des rochers de la vallée du Connecticut. » |
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